Semaine dernière, un déjeuner avec des amis que j’apprécie beaucoup… et la question qui revient encore une fois : “Alors, salarié ou entrepreneur ?
En réalité, ce n’était pas tout à fait cette question, mais on connait tous le gars-qui-est-malheureux-dans-sa-grande-entreprise-du-CAC40. Ça marche aussi avec SBF250, mutuelle d’assurance et world company.
Il y a 5 ans, j’étais ce gars.
Alors j’ai rejoint une startup. Super Team, Super Board, Super Produit. Mais au fond, j’étais plutôt en quête de frissons et de revanche sur le “système”. Et ça ne fait pas un projet d’entreprise.
Revenons à ce déjeuner. “Alors, salarié ou entrepreneur ?” Ma réponse est simple, ça m’a pris du temps, mais c’est clair maintenant. OSEF. Salarié, entrepreneur, ce sont seulement des moyens. Désormais, je réponds “Et toi, c’est quoi ton ‘WHY’ ?” Le WHY, c’est pour faire Hype. Ça dit la même chose que “C’est quoi ton objectif principal, ta raison d’être, ce qui te rend fier, heureux et vivant ?”
Bizarrement, je rencontre beaucoup de personnes qui ont 3 ou 4 objectifs top-prios mais dont l’importance varie au cours de la conversation. Comme pour pouvoir dire à la fin : “ce n’est pas de ma faute si je ne suis pas devenu.e ce que je rêve d’être…”
Il y a peu, j’étais aussi ce gars.
Et puis, il y a eu #IALeMans et neuralia.co, comme un alignement de planètes, une évidence.
Les ingrédients : l’Intelligence Artificielle, les entreprises locales qui irriguent les territoires avec des millions d’emplois, et les articles alarmistes sur la fin du travail [fun task : barrer les buzzwords]
La recette : mixer l’ensemble pour créer une utilité sociale à ces technos, et pour “vous aider à automatiser vos process pour vous concentrer sur ce que vous faites le mieux, votre métier”.
C’est la raison d’être de neuralia.co
Prendre le temps d’écrire sa raison d’être, c’est prendre le temps de mettre ses idées au clair, c’est aussi en gagner lorsqu’il faut choisir ce qui est le plus important de faire, là, maintenant. On a du taff, beaucoup de taff, mais on sait où on va.
Alors, et toi, c’est quoi ton ‘WHY’ ?